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"Ma définition d'un corps de rêve": La réponse Facebook d'une femme qui en a marre...

Illustration de l'article : "Ma définition d'un corps de rêve": La réponse Facebook d'une femme qui en a marre...

Illustration : "

Alors qu’une nouvelle année amène généralement de nombreuses résolutions pour les gens, Molly Galbraith a décidé de marquer le coup autrement!

« Nous disons aux femmes d’avoir confiance en elles, et pourtant, dès qu’une femme étale sa confiance… le monde entier fait la queue pour lui sauter dessus, la déchirer en morceaux, lui dire qu’elle devrait arrêter de se la péter. » Explique-t-elle au Huffington Post.

Cette cofondatrice du site Girls Gone Strong (Site de fitnesse/santé en ligne) a décidé de publier une photo sur sa page Facebook et elle a très vite fait le buzz, aimée par plus de 121.000 personnes à ce jour !

C’est principalement le message qui accompagnait cette photo qui est intéressant !

Le voici: (Traduction juste en dessous)

Illustration de l'article : "Ma définition d'un corps de rêve": La réponse Facebook d'une femme qui en a marre...

Traduction:

Ceci est mon corps.

Ce n’est pas une photo « avant ».

Ce n’est pas une photo « après ».

C’est juste mon corps, tel qu’il est, c’est ce à quoi il ressemble un mardi quelconque de décembre 2015 — c’est une photo de VIE.

C’est un corps qui aime les protéines et les légumes, et le fromage, et la glace.

C’est un corps qui aime les tractions, les flexions, le soulever de poids, et qui aime dormir.

C’est un corps qui a été parfois maltraité à coups de fast-food, de nuits sans sommeil et de stress.

C’est un corps qui a été poussé à bout, aux limites extrêmes de la maigreur pour des défilés, et à sa force musculaire maximale pour des conventions d’haltérophilie.

C’est un corps qui a supplié, imploré la pitié lorsqu’il a été diagnostiqué de thyroïdite de Hashimoto et de polykystose ovarienne.

C’est un corps qui a déjà été appelé :

- trop gros

- trop maigre

- trop masculin

- trop musclé

- trop faible

- trop grand

- trop petit

… tout ça, au cours d’une seule et même semaine.

Ce corps a été évalué publiquement, jugé, critiqué, et ces jugements ont été utilisés pour déterminer mon niveau de compétence en tant que coach et entraîneuse sportive. Ma valeur en tant que personne, à la fois positivement et négativement.

Certaines personnes m’ont dit qu’elles seraient prêtes à tuer pour avoir ce corps.

D’autres m’ont dit qu’elles se tueraient si elles avaient ce corps.

(Eh oui, malheureusement c’est bel et bien une chose que certains êtres humains sont capables de dire à d’autres.)

C’est, en résumé, un corps pour lequel j’ai consacré beaucoup trop de temps, d’énergie et de pensées, en souhaitant qu’il ait une apparence différente.

Et aujourd’hui ?

Aujourd’hui, c’est un corps qui est aimé, adoré, chéri par la seule personne dont l’opinion importe véritablement — MOI.

Cette année est la première année, aussi loin que j’arrive à m’en souvenir, pour laquelle je n’ai PAS PRIS de « bonne résolution » pour changer l’apparence de mon corps.

C’est un sentiment de liberté que je n’aurais jamais crû pouvoir vivre un jour, et ça fait vraiment, vraiment du bien.

Source: Huffingtonpost